La réalité est plus souvent clémente que la pensée. C’est de ma pensée que la confusion, la tristesse ou l’inquiétude proviennent, car dans l’instant, il n’y a que le mouvement de la vie et ce que le corps doit faire pour y répondre.
La paix de l’esprit, c’est lorsque j’ai compris que la souffrance provient des pensées (jugements, croyances ou conditionnements) que j’entretiens à propos de la réalité qui est devant moi et la résistance que je lui oppose.
J'apprends à poser un regard sincère sur mes pensées et j'accepte la possibilité de changer ma perception.