Derrière le babillage de l’esprit, le silence intérieur. L’emprise émotionnelle du narrateur prend fin. Je suis détaché de la pensée conditionnée. Le malade imaginaire n’existe plus, car j'ai pris conscience de ses stratégies.
La réalité de l’instant se révèle dans toute sa fraîcheur. Je pose un regard de compassion sur celui qui a terminé sa quête de l’absolu. Sans le narrateur, ma nature véritable s'éveille.