Quand je reconnais ma douleur, j’apprends à accepter celle des autres aussi d’où peut naître la compassion. L’égo me dissocie de la vie par ses jugements et étiquettes, alors que la compassion nourrit l’acceptation et le partage.
Lorsque que je suis éprouvé par les événements de la vie, il est rassurant, voir apaisant de penser que je ne suis pas seul au monde. Quelqu’un, quelque part aussi ressent la même chose que moi.